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News

  • 29 Jun 2022 21:52 | Anonymous

    The recently approved 'solo sí es sí' law in Spain claims it is "leaving behind the culture of violation and creating a culture of consent" establishing as one of these key measures the banning of porn advertising. A few hours following the approval of the law, the Spanish Socialist Workers’ Party (PSOE), supported by other political parties, proposed to the Spanish Parliament an amendment to the article 187 of the Organic Law 10/1995 of the Penal Code; the amendment calls for the abolition of all forms of profiting off the prostitution of others in Spain, with the intention of defending "the human rights of an advanced democratic society." It is a brutal, dangerous law proposal that will silence sexual expression, and makes work more difficult and dangerous for sex workers.


    According to Spanish Socialist Workers’ Party (PSOE), which proposed the anti-sex amendments, the Penal Code is incomplete because it only punishes prostitution that is "exploitative", while it should "punish prostitution widely", that is, "any form of obtaining profit from the prostitution of others." It doesn’t matter to them whether the practice is carried out under exploitation (banned under current law) or with explicit consent from all parties involved, and following ethical production practices. According to PSOE, it is in all cases a "serious violation of human rights."


    The true violation of human rights is destroying the livelihoods of the sex workers of Spain. It is an unprecedented attack on workers by a party that claims to support them. And the law is so broad that it would affect many routine forms of sexual expression, including content made by couples in their own home. The text is 


    It is hypocritical and reactionary for a political party aiming to define consent culture to invalidate the consent of sex workers, an already marginalised and stigmatised group.  This law only reinforces the stigma against sex work and the porn industry, blurring the lines between legitimate sex work and exploitation and ultimately, condemning sex workers to more precariousness, secrecy, and violence.


    FSCE stands with all sex workers and adult industry workers in Spain and calls for the authorities to stop this proposed law. If the Spanish government truly wants to establish a consent culture, they must protect the rights of sex workers and pass legislation to improve our working conditions. We ask that the political parties meet with sex worker rights organizations, and other affected communities to more fully understand the deeply harmful and damaging effects of the current law proposal that legitimates censorship and discrimination.



    HERE is a statement from the Spanish sex workers syndicate Otras.

    HERE is a statement  from independent adult film producers unite to defend sex workers’ right to consent in response to the new Spanish “solo sí es sí”


  • 18 May 2022 21:31 | Anonymous

    Lettre ouverte à l’Arcom  // PDF // PDF ENGLISH

    À l’attention de :

    Roch-Olivier Maistre, président

    Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom)

    Tour Mirabeau

    39-43, quai André-Citroën

    75739 Paris cedex 15



    Berlin, le 14/03/2022


    Objet : Lettre ouverte à l’Arcom



    Monsieur,


    En tant que coalition de travailleurs du sexe et de producteurs de contenus pour adultes, nous nous sommes engagés à contribuer à la sécurité et à la protection des mineurs, et au respect de leurs droits. Alors que les contenus pour adultes sont réalisés par et pour des adultes consentants, et nous soutenons tout à fait les efforts visant à empêcher les mineurs d’y accéder, nous considérons que les réglementations et attaques actuelles contre notre industrie constituent une menace pour nos libertés sans pour autant s'attaquer à la source réelle du problème, tout en échouant à proposer des solutions pratiques.


    Depuis l’an dernier, le CSA et maintenant l’Arcom cherchent à bloquer l’accès aux sites pour adultes ainsi que la liberté d’expression sexuelle protégée, prétendument pour des questions de vérification d’âge. En l’absence d’accord sur les méthodes de vérification de l’âge, les grosses plateformes ont été menacées de blocage à l’échelle nationale, de poursuites pénales et d’amendes. Et pendant que l’Arcom s’attèle à empêcher les Français d’accéder à ces sites, nous attendons toujours l’annonce de normes officielles. Sans cela, aucun site n’est en mesure d’offrir des garanties de conformité.


    Plusieurs méthodes ont été vantées, dans ce pays et d’autres, dont la reconnaissance faciale et le scan des pièces d’identité. Si celles-ci peuvent sembler acceptables pour les personnes maîtrisant les bases de la technologie ou l’industrie pour adultes en général, dans la pratique en revanche, elles s’avèrent difficiles à mettre en œuvre et financièrement non viables, du fait de l’opposition massive des consommateurs.


    Vous avez probablement entendu les défenseurs de ces technologies et les sociétés de vérification d’âge elles-mêmes faire l’apologie de leur simplicité et de leur efficacité. En tant qu'association professionnelle réunissant des créateurs, des travailleurs et des entreprises de l’industrie pour adultes en Europe, nous serions ravis si ces allégations étaient exactes. Si tel était le cas, les sociétés pour adultes n’auraient aucun problème à se mettre en règle. L’industrie pour adultes ne cherche pas à toucher les mineurs. Nombre d’entre nous sommes parents aussi et au-delà des considérations morales et éthiques, nous n’avons aucun intérêt, financier ou autre, à permettre aux mineurs d’accéder à des contenus pour adultes.


    Toutefois, les méthodes de vérification actuellement disponibles sont complexes, contraignantes et coûteuses. Le coût des services proposant la vérification peut aller jusqu’à 3 € par utilisateur. Pour les sites attirant plusieurs millions de visiteurs par jour, cela représente un coût si exorbitant qu’il en devient non viable. Pour les petits sites indépendants, en particulier, qui opèrent déjà avec des marges étroites, ces mesures sont impraticables au point de leur interdire toute possibilité de s’exprimer.


    Les consommateurs, dans une très large mesure, rechignent à se soumettre à la procédure. Un rapport récent publié par le service de vérification d’âge VerifyMyAge a révélé que 55 % des consommateurs n’utiliseraient pas un site dont le protocole de vérification d’âge ne leur plaît pas. Ceux qui ont tenté de mettre en place la vérification sous sa forme actuelle abondent dans ce sens. Même si ces services affirment ne conserver aucune donnée personnelle et éliminer les informations relatives à l’accès à des sites sensibles, de nombreux consommateurs sont réticents à se plier à un tel dispositif. Lorsque les protocoles sont mis en place, les ventes réalisées par les plateformes auprès des consommateurs ayant l’âge légal subissent une baisse moyenne de 30 %.


    Même pour les consommateurs qui acceptent de se soumettre à la procédure, la technologie elle-même est loin d’être parfaite. Les consommateurs peuvent la trouver compliquée à utiliser et de nombreuses tentatives sont parfois nécessaires pour finaliser la vérification. Nous le savons parce que les travailleurs du sexe et autres créateurs de contenus pour adultes utilisent déjà ces technologies pour faire vérifier leur âge et leur identité avant d’envoyer du contenu. Cette procédure s’avère souvent lente et fastidieuse, mais en tant que créateurs, nous acceptons de nous y soumettre afin de générer des revenus. Pour les consommateurs, en revanche, l’expérience crée une forte incitation à aller voir ailleurs.


    Lorsque les consommateurs abandonnent la procédure de vérification, ils ne renoncent pas pour autant à la recherche de contenus pour adultes, mais se tournent simplement vers l’une des millions de plateformes non affectées par ces mesures - des médiaux sociaux aux sites illégaux - ou recourent à un VPN pour échapper aux restrictions françaises. Si l’objectif de la commission est d’empêcher l'accès au moyen de la vérification obligatoire, elle devra prendre en compte cette réalité. Sauf si le gouvernement envisage de mettre en place des points de contrôle de l'âge et de l'identité pour de larges secteurs de l'Internet, ces mesures sont vouées à l'échec.


    Si son objectif est d’empêcher les mineurs d’accéder à des contenus pour adultes, l’Arcom doit revoir la législation de façon à prendre en compte la réalité de l’Internet en 2022. Le projet en son état actuel n’a aucun sens, que ce soit sur le plan politique ou sur le plan technologique. En tant que créateurs, performers et studios, nous sommes amenés à vous demander pour quelle raison l’Arcom cherche à écraser la concurrence, à une époque où tout le monde a le droit de s’exprimer. Pourquoi cherche-t-elle à pousser les citoyens français vers des sites pirates non régulés et moins responsables ? Pourquoi n’a-t-elle pas cherché à travailler avec nous pour atteindre ses objectifs, au lieu de nous tenir à l’écart ?


    Heureusement, des solutions existent : les filtres au niveau des appareils. Ceux-ci, souvent fournis gratuitement sur les ordinateurs portables et les téléphones, bloquent l’accès aux contenus pour adultes, et ce, même en présence d’un VPN. Les sites pour adultes, dans le cadre des mesures visant à écarter les mineurs tout en protégeant l’accès pour les adultes consentants, sont listés systématiquement par ces filtres. En plus d’être plus efficaces, ils ne nécessitent ni censure ni surveillance de la part des gouvernements. Il serait bien plus efficace de lancer une campagne à destination des parents et des éducateurs pour faire connaître ces filtres, ou de subventionner des filtres pour les appareils qui n’en sont pas déjà équipés. De telles mesures seraient accueillies de façon tout à fait favorable par l’industrie pour adultes, notre secteur d’activité étant particulièrement bien placé pour connaître le fléau des contenus piratés.


    Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les travailleurs du sexe et l'industrie pour adultes sont vos partenaires de choix dans ce combat. Depuis longtemps déjà, nous avons pris l’engagement de tenir les mineurs à l’écart de nos sites et le jour où l’évolution de la technologie nous permettra de vérifier chaque visiteur sans bloquer les personnes majeures, nous serons heureux de nous mettre en règle. Vous et nous partageons le même objectif, mais les décrets réglementaires et les batailles juridiques sont un mauvais moyen de trouver un accord, tout en échouant à protéger la jeunesse française.

    La stratégie réglementaire actuelle doit être modifiée pour éviter de décimer les entreprises éthiques et légales. Nous vous demandons de bien vouloir revoir votre stratégie et de travailler avec nous directement afin d’en comprendre les effets réels, non seulement sur les grosses sociétés, mais aussi sur les créateurs indépendants et les communautés marginalisées. Si l’Arcom est sérieuse, et ne cherche pas uniquement à censurer l’expression de la sexualité, nous vous invitons à vous concerter avec Free Speech Coalition Europe, ainsi que les communautés les plus affectées par cette politique rétrograde.


    Nous demandons à l’Arcom de rencontrer FSC Europe, les organisations de défense des droits des travailleurs du sexe et d’autres communautés concernées afin d’acquérir une meilleure compréhension des effets profondément néfastes des règlementations actuelles qui légitiment la censure et la discrimination.


    Cordialement,


    Free Speech Coalition Europe 

    (Coalition Européenne pour la Liberté d’Expression)



  • 9 Mar 2022 12:21 | Anonymous

    Offener Brief an die Kommission für Jugendmedienschutz. // PDF // PDF ENG


    Sehr geehrter Herr Dr. Tobias Schmid,

    Sehr geehrte Mitglieder der Kommission für Jugendmedienschutz,


    Als Berufsverband für die Urheber:innen, Arbeitnehmer:innen und Unternehmen der Erwachsenenunterhaltung in Europa setzen wir uns auch für die Sicherheit, den Schutz und die Rechte von Minderjährigen ein. Während unsere Inhalte von und für Erwachsene gemacht werden und wir grundsätzlich die Bemühungen unterstützen, diese Minderjährigen unzugänglich zu machen, bedrohen die derzeitigen Regelungen und Maßnahmen unser aller Freiheit, verfehlen die eigentliche Ursache des Problems und entbehren sich praktischer Lösungsansätze. 


    So fordern Sie beispielsweise die Einführung einer obligatorischen Altersüberprüfung für alle Nutzer:innen, einschließlich Gesichtsscans und ID-Uploads. Diese Methoden mögen für diejenigen, die sich nur flüchtig mit der Technologie oder der Erwachsenenindustrie im Allgemeinen auskennen, vernünftig klingen. In der Praxis sind sie jedoch schwierig zu handhaben, stoßen auf massiven Widerstand bei den Verbraucher:innen und sind finanziell nicht tragbar. 


    Wären diese tatsächlich so einfach und effektiv wie Altersüberprüfungsunternehmen oder Befürworter es behaupten, hätten die Akteure der Branche kein Problem mit deren Umsetzung. Wir haben keinerlei Interesse daran, Minderjährige zu erreichen. Viele von uns sind selbst Eltern, und abgesehen von moralischen und ethischen Bedenken gibt es auch keinen finanziellen oder sonstigen Vorteil, den wir aus dem Zugang unserer Inhalte für Minderjährige ziehen könnten.


    Die derzeit von der KJM geforderte Altersverifikation und Identifikation ist jedoch aufwändig und teuer. Entsprechende Dienste kosten bis zu 3 € pro Nutzer:in. Für Websites mit Millionen von täglichen Besuchen bedeutet das exorbitante Kosten. Vor allem für kleine, unabhängige Websites, die ohnehin schon mit geringen Gewinnspannen arbeiten, ist das schlicht nicht leistbar. 


    Zudem zeigte ein Bericht des Altersüberprüfungsdienstes VerifyMyAge kürzlich, dass 55% der Verbraucher:innen eine Website mit entsprechender Altersüberprüfung nicht nutzen würden. Dies stimmt mit den Erfahrungen derjeniger überein, die versucht haben, die Verifizierung vorschriftsgemäß einzuführen. Ihre Verkäufe an volljährige Verbraucher:innen gingen um bis zu 30 % zurück. Auch wenn die entsprechenden Dienste behaupten, dass keine persönlichen Daten gespeichert werden und dass private Informationen über den Zugang zu Websites gelöscht werden, zögern viele Verbraucher:innen, ihre Daten einzugeben. Zum einen aus Bedenken hinsichtlich Datenschutz, zum anderen weil der Konsum dieser Inhalte noch immer massiv stigmatisiert und somit hochsensibel ist. 


    Selbst für Verbraucher:innen, die bereit sind, sich auf diesen Prozess einzulassen, kann sich die Nutzung kompliziert gestalten, z.B. zahlreiche Anläufe erfordern. Wir wissen das als Sexarbeiter:innen und Filmemacher:innen, weil verschiedene Plattformen diese Technologien bereits nutzen, um unser Alter und unsere Identität zu überprüfen, bevor wir unsere Inhalte hochladen können. Das ist oft eine langsame und frustrierende Erfahrung, aber wir - als Urheber:innen - sind bereit, dies zu tun, um Einnahmen zu erzielen. Für die Verbraucher:innen hingegen setzt dies einen starken Anreiz, zur Konkurrenz zu gehen.


    Während eine Umsetzung des von Ihnen geforderten Verifizierungsprozess unserem Geschäft also massiv schadet bzw. uns in die vollkommene Aufgabe unserer Tätigkeit zwingt und so unsere Existenzgrundlage bedroht, ist die Effizienz dieser Maßnahme zugleich fraglich. Wer an der Altersverifizierung scheitert, wird die Suche nach pornografischen Inhalten nicht aufgeben, sondern einfach auf eine der unzähligen Plattformen - von Social Media bis zu illegalen Seiten - zugreifen, die nicht betroffen sind oder via VPN die deutschen Beschränkungen umgehen. Solange die Regierung nicht beabsichtigt, Alters- und Ausweiskontrollen für weite Bereiche des Internets einzurichten, sind die Bemühungen zum Scheitern verurteilt. 


    Wenn das Ziel darin besteht, Minderjährigen den Zugang zu nicht jugendfreien Inhalten zu verwehren, muss die KJM die Rechtsvorschriften überarbeiten, damit sie der Realität des Internets im Jahr 2022 entsprechen. Der derzeitige Plan ist weder politisch noch technisch sinnvoll. Als Urheber:innen, ausübende Künstler:innen und Studios müssen wir uns fragen: Warum sollte die KJM versuchen, den Wettbewerb zu unterdrücken, insbesondere in einer Zeit, in der die Vielfalt der Darstellungen und Perspektiven wächst? Warum will sie die deutschen Bürger:innen auf unregulierte und weniger verantwortungsvolle Seiten drängen? Warum hat sie nicht versucht, mit uns zusammenzuarbeiten, um ihre Ziele zu erreichen, anstatt uns weiter an den Rand zu drängen?


    Glücklicherweise gibt es Lösungen: Filter auf Geräteebene. Diese Filter, von denen viele kostenlos für Laptops und Handys angeboten werden, blockieren den Zugang zu nicht jugendfreien Inhalten, unabhängig davon, ob ein VPN verwendet wird. Pornografische Online-Plattformen registrieren sich freiwillig seit Jahrzehnten bei diesen Filtern, um Minderjährige fernzuhalten und gleichzeitig den Zugang für Erwachsene zu schützen. Sie sind nicht nur effektiver, sondern erfordern auch keine staatliche Zensur oder Überwachung. Es wäre viel effektiver, eine Kampagne zu starten, die Eltern und Betreuende über Filter informiert, oder Filter für Geräte zu subventionieren. Wir als Akteure der Pornoindustrie würde diese Bemühungen gerne unterstützen.


    So paradox es auch klingen mag, wir sind Ihr wichtigster Partner in diesem Kampf. Wir setzen uns seit langem dafür ein, Minderjährige von unseren Inhalten fernzuhalten. Sollten sich die Technologien so weiterentwickeln, dass es einfach und kostengünstig ist, alle Besucher:innen zu überprüfen, ohne dabei den Zugang für Erwachsene erheblich zu erschweren, werden wir dem gerne nachkommen. Wir haben ein gemeinsames Ziel, aber behördliche Hindernisse und Rechtsstreits sind ein schlechter Weg, um eine Einigung zu erzielen, und eine wenig wirksame Strategie, um die Jugend in Deutschland zu schützen.


    In den letzten Monaten haben wir gesehen, wie Dutzende kleinerer Accounts, darunter auch Erzieher:innen, als Folge Ihrer Kampagne auf Twitter gesperrt wurden. Ihre öffentliche Sprache konzentriert sich auf große Plattformen, aber die Menschen, die zum Schweigen gebracht werden, sind häufiger Einzelpersonen und kleine Unternehmen, die nicht über große juristische Teams verfügen, um sich gegen die KJM  zu wehren. Wir haben Angst um unsere Existenz.


    Die derzeitige Richtlinie muss geändert werden, um zu verhindern, dass ethische und legale Unternehmen dezimiert werden. Wir bitten Sie, Ihre Strategie zu überdenken und direkt mit uns zusammenzuarbeiten, um die zutiefst schädlichen und zerstörerischen Auswirkungen der aktuellen Regelungen, die Zensur und Diskriminierung legitimieren, besser zu verstehen - nicht nur auf große Unternehmen, sondern auch auf unabhängige Produzent:innen und marginalisierte Gemeinschaften. Wenn die KJM und die Medienanstalt NRW es ernst meinen und nicht nur zensieren wollen, müssen sie mit den Menschen sprechen, die am meisten von dieser regressiven Politik betroffen sind.


    Wir sind jederzeit für ein Gespräch bereit. 


    Ursprünglich wollten wir diesen Brief mit unseren eigenen Namen und Unternehmen unterzeichnen. Als Kleinunternehmer:innen, die mit ansehen mussten, wie Konten in Deutschland verschwanden, befürchten wir nun jedoch, dass auch wir ins Visier genommen werden könnten, wenn wir uns frei äußern.


    gez.

    die Free Speech Coalition Europe



  • 15 Sep 2021 11:37 | Anonymous

    What is the Free Speech Coalition Europe?

    The Free Speech Coalition’s mission is to protect the rights and freedoms of the adult industry so that we all prosper.

    We envision a world in which body sovereignty is recognized, sexual expression is destigmatized, and sex work is decriminalized.

    Free Speech Coalition Europe is an independent chapter of the Free Speech Coalition, operating in the European territory.

    Why a trade association for the adult industry?

    To create a dialogue and stronger network between all the different representatives of the European adult industry.

    To promote industry self-governance and regulation, establishing standards in Europe to support the growth and wellbeing of businesses and their communities.

    To present a unified adult industry voice from a reputable and neutral organization. FSC Europe advocates for better legislation and informs public opinion by speaking with politicians and press.

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